Mon parcours sur le web est très simple : je regarde si j'ai des commentaires, puis je vais à mon mail, puis je survole Tricotin, et enfin Ravelry, puis ce sera un va-et-vient qui peut durer toute la journée entre Tricotin et Ravelry. Et ça peut durer des heures, car je me retrouve incapable de bouger ou d'avoir de l'initiative ( je blâme encore mes chers médocs pour ça. J'étais pas comme ça avant). Et ça dure encore plus ces jours-ci parce que la mairie a décidé de changer les lampadaires de la rue. Résultat, il y a moins de lumière dans ma chambre et je découvre que j'ai peur du noir. Du coup je me relève et hop, Internet.
Bref, tout ça pour vous demander des adresses Internet qui vous intéressent, afin de m'aider à sortir de ma routine. Tout ce qui vous passe par la tête, travaux de fils ou autre, mais à la condition que ce soit une adresse qui vous soit chère et intéressante. Je vous dois un grand merci d'avance.
Je commence : hier j'ai fait une petite entorse à ma routine et suis allée voir Gallica, le site des livres numérisés de la BNF ( vu que j'ai eu un e-reader pour mon anniversaire ça m'intéressait de savoir si les PDF très lourds de la BNF étaient supportés par mon Cybook Opus ) et j'ai vu qu'ils avaient enfin numérisés un de mes livres favoris, Le Vingtième Siècle, écrit et illustré par Albert Robida. C'est vraiment un livre fascinant parce qu'on voit comment le 19e siècle imaginait le 20ème. Il y a bien une pointe de sexisme agaçante, mais ça, c'est l'époque qui le voulait, je pense, et Robida était bien de son siècle. Enfin, pour tout écrivain qui écrit sur le futur, on se demande ce qu'ils ont prédit. Eh bien pour Robida c'était la mini jupe! Je n'ai jamais acheté ce livre car il vaut dans les 90€ et je me connais, je le maltraiterais, mais je l'ai emprunté de multiples fois à la bibliothèque.
vendredi 20 août 2010
mercredi 18 août 2010
Truc que j'ai retrouvé et que je recommande!
Depuis quelques jours j'étais obnubilée par un film que j'avais vu deux fois tard le soir sur Arte mais je n'arrivais pas à retrouver le titre. Finalement, après moult mots clefs tapés sur imdb.com, j'ai fini par trouver : Pauline et Paulette, un film belge de 2001.
C'est l'histoire de quatre soeurs qui ont la soixantaine. Deux vivent leurs vie séparément mais la troisième, Martha, si je me souviens bien, s'occupe de Pauline qui est ce qu'on appelle par euphémisme une grande enfant, avec un léger retard mental, donc, et qui a une passion pour les fleurs, en image ou en vrai. Elle a aussi une certaine attirance pour sa soeur Paulette et va la voir dans son magasin de vêtements. Malheureusement ce n'est pas réciproque, Paulette ayant honte de Pauline en public. Martha meurt subitement et c'est le début des ennuis. Dans le testament qu'elle laisse, ses soeurs ont le choix : soit l'une d'elle se dévoue pour s'occuper de Pauline et l'héritage est partagé en trois parts égales. Soit elles mettent Pauline en institution et c'est alors Pauline seule qui hérite.
Paulette est très occupée par son magasin et sa passion pour l'opérette, sa soeur ( trou de mémoire sur le prénom. S'cuses :P ) vit à Bruxelles avec un homme ne comprenant pas le flamand et totalement hermétique à Pauline. Toutes deux partent donc mal pour s'occuper de leur soeur. Je ne raconte pas la suite parce que ça n'aurait plus d'intérêt, mais le film est vraiment touchant. L'interprète de Pauline est tellement douée qu'au départ on se demande si on n'a pas affaire à une vraie personne handicappée mentale.
C'est vraiment un beau petit film, et le DVD n'est pas cher sur Amazon, à 6€. Vraiment, je le recommande.
C'est l'histoire de quatre soeurs qui ont la soixantaine. Deux vivent leurs vie séparément mais la troisième, Martha, si je me souviens bien, s'occupe de Pauline qui est ce qu'on appelle par euphémisme une grande enfant, avec un léger retard mental, donc, et qui a une passion pour les fleurs, en image ou en vrai. Elle a aussi une certaine attirance pour sa soeur Paulette et va la voir dans son magasin de vêtements. Malheureusement ce n'est pas réciproque, Paulette ayant honte de Pauline en public. Martha meurt subitement et c'est le début des ennuis. Dans le testament qu'elle laisse, ses soeurs ont le choix : soit l'une d'elle se dévoue pour s'occuper de Pauline et l'héritage est partagé en trois parts égales. Soit elles mettent Pauline en institution et c'est alors Pauline seule qui hérite.
Paulette est très occupée par son magasin et sa passion pour l'opérette, sa soeur ( trou de mémoire sur le prénom. S'cuses :P ) vit à Bruxelles avec un homme ne comprenant pas le flamand et totalement hermétique à Pauline. Toutes deux partent donc mal pour s'occuper de leur soeur. Je ne raconte pas la suite parce que ça n'aurait plus d'intérêt, mais le film est vraiment touchant. L'interprète de Pauline est tellement douée qu'au départ on se demande si on n'a pas affaire à une vraie personne handicappée mentale.
C'est vraiment un beau petit film, et le DVD n'est pas cher sur Amazon, à 6€. Vraiment, je le recommande.
dimanche 8 août 2010
Truc de vacances, la suite
Quelques photos des environs de l'endroit où j'étais.
Pour commencer, Mur de Barrez qui était un territoire monégasque, d'où cette tour de Monaco :
Normalement j'aurais dû la photographier de face et pas de côté, mais devant il y avait un camion à pizza tout ce qu'il y a de plus photogénique ;)
Pas très loin, un arbre creux sur Nigresserre :
un papillon qui se chauffe au soleil :
L'arrière de la Chapelle de Laussac, sur le lac du barrage du Sarran. Je n'ai pas le devant, malheureusement, parce que je croyais avoir appuyé sur le bouton , alors qu'en fait, non.
Le four à pain communal, allumé ce jour là parce qu'il y avait fête le lendemain et qu'ils préparaient du pain et de la fougace. Je serais bien revenue, mais on devait rentrer pour un RV.
Pour finir, une petite vue sur le lac de la Truyère :
Et pour finir, en revenant, on a vu un clocher à peigne. C'était à Paulhenc, je crois :
Pour commencer, Mur de Barrez qui était un territoire monégasque, d'où cette tour de Monaco :
Normalement j'aurais dû la photographier de face et pas de côté, mais devant il y avait un camion à pizza tout ce qu'il y a de plus photogénique ;)
Pas très loin, un arbre creux sur Nigresserre :
un papillon qui se chauffe au soleil :
L'arrière de la Chapelle de Laussac, sur le lac du barrage du Sarran. Je n'ai pas le devant, malheureusement, parce que je croyais avoir appuyé sur le bouton , alors qu'en fait, non.
Le four à pain communal, allumé ce jour là parce qu'il y avait fête le lendemain et qu'ils préparaient du pain et de la fougace. Je serais bien revenue, mais on devait rentrer pour un RV.
Pour finir, une petite vue sur le lac de la Truyère :
Et pour finir, en revenant, on a vu un clocher à peigne. C'était à Paulhenc, je crois :
truc où je suis de retour
Après un petit ( tout petit) voyage en Auvergne, dans le cantal, à la limite de l'Aveyron.
J'ai ramené quelques photos. :)
D'abord l'endroit où nous étions, le hameau où est la maison de ma grand-mère et où ma mère est née :
Nous sommes en haut de la vallée, il y a un éboulement presque en dessous :
Voici une vue de la vallée. Je crois que les vallées en U comme ça sont d'origine glacière mais ne suis pas sûre :
Le village dont dépend le hameau, sur la pointe de la vallée :
Maleureusement il y a beaucoup de ruines, voici tout ce qui reste de la maison de ma grand-tante :
Et la traditionnelle gentiane dont on fait la Salers avec les racines. C'est trop tard pour celles-ci, mais de toutes façons le gentianeur ne passe dans un coin précis que tous les vingt ans. ça ma fait penser que j'ai goûté à l'Auvergnat Cola, à la gentiane. Le marché est d'ailleurs saturé puisqu'il a son concurrent aveyronais le Bougnat Cola, aromatisé à la gentiane lui-aussi :)
J'ai ramené quelques photos. :)
D'abord l'endroit où nous étions, le hameau où est la maison de ma grand-mère et où ma mère est née :
Nous sommes en haut de la vallée, il y a un éboulement presque en dessous :
Voici une vue de la vallée. Je crois que les vallées en U comme ça sont d'origine glacière mais ne suis pas sûre :
Le village dont dépend le hameau, sur la pointe de la vallée :
Maleureusement il y a beaucoup de ruines, voici tout ce qui reste de la maison de ma grand-tante :
Et la traditionnelle gentiane dont on fait la Salers avec les racines. C'est trop tard pour celles-ci, mais de toutes façons le gentianeur ne passe dans un coin précis que tous les vingt ans. ça ma fait penser que j'ai goûté à l'Auvergnat Cola, à la gentiane. Le marché est d'ailleurs saturé puisqu'il a son concurrent aveyronais le Bougnat Cola, aromatisé à la gentiane lui-aussi :)
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